Chercheur scientifique: 'Nous sommes absolument convaincus que ce n'est pas une maladie respiratoire virale pandémique qui a causé la mort'

M. Rancourt a été invité à partager son travail à l'Enquête nationale des citoyens et à clarifier la réalité de ce qui s'est passé pendant la pandémie.

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Denis Rancourt s'est penché sur la question et a analysé les chiffres officiels. Mr Rancourt est titulaire d’un baccalauréat, d’une maîtrise et d’un doctorat en physique de l’Université de Toronto. Il a continué ses études jusqu’au postdoctorat, se spécialisant en chimie de synthèse en France. Son expertise l’a amené à faire des recherches interdisciplinaires et éventuellement à travailler dans le domaine de la biogéochimie environnementale.

Il a été convié à partager ses travaux, sur une base bénévole, afin de faire la lumière sur ce qui s'est réellement produit par rapport à la pandémie.

Ma conclusion générale, après de nombreuses années de travail, maintenant, trois ans de travail détaillé, nous avons écrit plus de 30 articles scientifiques à ce sujet. Si les gouvernements n’avaient pas réagi du tout, il n’y aurait pas eu de surmortalité.”

La conclusion est assez équivoque pour Monsieur Rancourt, l’action des gouvernements aurait provoqué une hausse de mortalité au sein des populations.

"Je ne vois aucune preuve qu’il y ait eu un agent pathogène particulièrement violent et qu’il soit apparu sur la planète et qu’il ait commencé à causer la mort. Je ne vois pas les preuves de cela. Et en fait, lorsque j’ai analysé la mortalité, toutes causes confondues, je peux prouver que les schémas de décès sont incompatibles avec la théorie selon laquelle il y aurait eu une propagation d’une maladie respiratoire virale.”

Monsieur Rancourt explique les conclusions d’ observations statistiques et des chiffres officiels à travers le temps de la pandémie. Les chiffres sont documentés par les instances officielles gouvernementales et c’est ce qui a rendu possible cette analyse approfondie.

"La mortalité toutes causes confondues est très bien documentée par pratiquement tous les états modernes du monde et est également recueillie par des organismes internationaux et à différents niveaux. C’est donc le genre de statistiques que nous faisons le mieux en tant que société. Il y a des règles institutionnelles,il y a des lois. Une nation a besoin de savoir combien de personnes meurent, où elles meurent, dans quelles circonstances.”

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