Découvrez Ruby Dhalla : Une députée libérale liée à des scandales d’exploitation, de censure et de vanité
Si les libéraux souhaitent poursuivre sur la voie d’un chef plus préoccupé par son image que par le bien-être des Canadiens, Ruby Dhalla pourrait bien être une candidate de premier plan pour succéder à Justin Trudeau.
Bienvenue dans un nouvel épisode de Rencontrez Les Libéraux, où nous levons le voile sur les prétendus "leaders" du Parti libéral qui aspirent à remplacer Trudeau – et, potentiellement, à devenir un Premier ministre éphémère.
Canadians don’t want Trudeau 2.0.
— Ruby Dhalla (@DhallaRuby) January 28, 2025
If we’re going to beat the Conservatives, we need real change #RubyforPM pic.twitter.com/5iWi3N4iM7
Aujourd’hui, intéressons-nous à Ruby Dhalla : chiropraticienne née à Winnipeg, actrice, activiste, mannequin et politicienne à l’image publique soignée, mais dont le passé est entaché de scandales et d’hypocrisie. Elle se présente comme une "outsider" voulant remplacer Trudeau, mais son parcours montre qu’elle est issue du même moule libéral.
I am the outsider candidate.
— Ruby Dhalla (@DhallaRuby) January 28, 2025
I do not have the establishment backing me.
If you are endorsed by 16 members of Trudeau's Cabinet, you are not an outsider but an insider.
It’s Trudeau 2.0.
Vote Ruby Dhalla for real change.#rubyforpm
Ruby Dhalla est entrée en politique en 2004 en devenant députée libérale de Brampton—Springdale. À l’époque, elle était saluée comme une étoile montante – l’une des premières femmes sikhes élues au Parlement canadien, aux côtés de la conservatrice Nina Grewal. Son élection fut vantée comme une victoire pour la diversité et l’inclusion.
Cependant, sa carrière fut marquée par les scandales plus que par les réalisations. Elle a perdu son siège face au conservateur Parm Gill en 2011 et s’est éclipsée de la scène politique.
En 2009, Dhalla a été accusée par deux travailleuses étrangères de mauvais traitements. Elles affirmaient être forcées de travailler entre 12 et 16 heures par jour pour seulement 250 $ par semaine. Pire encore, elles étaient contraintes de nettoyer les commerces de la famille Dhalla et avaient vu leurs passeports confisqués, une violation flagrante des lois canadiennes. De plus, la famille Dhalla n’avait pas obtenu les autorisations requises dans le cadre du Programme des aides familiaux résidants.
Bien que Dhalla ait nié toute implication et présenté des reçus en guise de défense, le scandale l’a contrainte à démissionner de son poste de critique libérale pour la jeunesse et le multiculturalisme.
Ruby Dhalla’s Nanny Troubles:
— Steve Urszenyi | Author (@SteveUrszenyi) January 23, 2025
“The nannies also allege Dhalla improperly seized their passports and family members forced them to do non-nanny jobs such as washing cars, shining shoes and cleaning family-owned chiropractic clinics.”https://t.co/tV6Qk7kjFp
Avant sa carrière politique, Dhalla a joué dans un film inspiré de Bollywood. Lors de la sortie du DVD, elle a tenté d’en interdire la distribution, affirmant que les images promotionnelles avaient été "altérées" sans son consentement.
Vrai ou non, cette tentative de censure rappelle la tendance libérale à contrôler les récits et à étouffer ce qui les dérange. Les Canadiens, déjà exaspérés par les politiques de censure de Trudeau, devraient se méfier de ce que donnerait un Parti libéral dirigé par Ruby Dhalla.
Apparently illegally hiring and abusing two foreign nannies is a "drive-by smearing" in Ruby's world.
— Jon Fraser (@JonFraserTF) January 24, 2025
Liberals are truly delusional.#LiberalFools #cdnpoli https://t.co/GXbAdpgtnA https://t.co/nEk7mjUoAV
Les affiches de campagne de Dhalla sont tellement retouchées que des internautes les ont qualifiées de "niveau arnaque". Mais les Canadiens ne sont pas dupes : lorsqu’ils la voient à la télévision, le contraste est frappant et insultant. Encore une politicienne qui mise sur les apparences plutôt que sur des solutions concrètes.
Dhalla se présente comme une pionnière du féminisme et une fervente défenseure de l’immigration. Pourtant, elle critique aujourd’hui les politiques qu’elle défendait autrefois, tentant d’attirer un électorat désabusé.
As Prime Minister, I will deport illegal immigrants and clamp down on human traffickers.
— Ruby Dhalla (@DhallaRuby) January 28, 2025
That’s my promise to you.
En tant que Premiére ministre, je vais expulser les immigrants illégaux et sévir contre les trafiquants d’êtres humains.
C’est ma promesse envers vous. pic.twitter.com/T69pISQlXS
Les Canadiens voient clair dans ces revirements opportunistes. Le leadership ne consiste pas à flatter l’air du temps, mais à défendre des principes et à s’y tenir.
Entre les accusations de mauvais traitements, ses tentatives de censure et son obsession pour l’image, Dhalla ne représente en rien le renouveau dont le Canada a besoin. Son parcours prouve qu’elle est plus préoccupée par son apparence que par la gouvernance avec intégrité.
Alors, quand Ruby Dhalla prétend incarner l’avenir du Parti libéral, souvenez-vous de son passé.
Le vrai leadership ne repose ni sur des affiches retouchées, ni sur des discours soigneusement calibrés, mais sur l’authenticité, la responsabilité et l’action. Et sur ces points, Dhalla échoue sur toute la ligne.
Visitez RencontrezLesLibéraux.com, informez-vous et partagez. Les Canadiens méritent de connaître la vérité – même si les libéraux préfèrent la leur cacher.

Alexandra Lavoie
Quebec based Journalist
Alexa graduated with a degree in biology from Laval University. Throughout her many travels, she has seen political instability as well as corruption. While she witnessed social disorder on a daily basis, she has always been a defender of society’s most vulnerable. She’s been around the world several times, and now joins Rebel News to shed light on today’s biggest stories.
