Des vidéos de Drag Queen sont présentées dans une école sans le consentement parental

Aujourd’hui, je discute avec Charles Gaudreault, père de trois enfants. Il a récemment découvert que l’école que sa fille de cinq ans fréquente présente en classe des vidéos de la drag-queen Barbada, et ce, sans le consentement des parents.

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Une école de la région de Québec présente en classe des vidéos de la drag-queen Barbada sans le consentement des parents.

C’est avec les événements de l’heure du conte que le nouveau sujet polarisant des drag-queens a commencé à être l’objet de nombreuses discussions de société. En partenariat avec les différents gouvernements, les commissions scolaires veulent exposer les enfants aux drag-queens pour les rendre plus inclusifs, plus tolérants et plus ouverts aux différences.

Le phénomène drag-queen existe depuis longtemps, bien avant le mouvement LGBTQ+. Les premiers spectacles remontent au début du XXe siècle, et c’est dans les salles de théâtre que le terme « drag » aurait vu le jour. Comme il était interdit pour les femmes de monter sur scène, les personnages féminins étaient joués par des hommes, qui se déguisaient en conséquence.

Dans les décennies qui ont suivi, la drag est devenue de plus en plus associée à la communauté LGBT. Dans les années 1930, les bars gais et les boîtes de nuit ont commencé à présenter des spectacles de drag pour divertir les clients. Ces spectacles étaient souvent des parodies de la culture dominante et comprenaient des personnages féminins exagérés et des numéros de danse comiques. Le rôle des drag-queens était donc clairement bien différent que ce que nous connaissons aujourd’hui. Au fil du temps, leur raison d’être a été convertie par la communauté LGBTQ+.

Il ne s’agit pas d’un genre, ni d’une orientation sexuelle, c'est simplement un homme qui se caricature en femme de manière exagérée et dont les performances sont connues pour être osées, voire sexuelles. Au cours des dernières années, la déconstruction de l'identité de genre a pris beaucoup de place. Il s’agit d’un concept qui remet en question les normes sociales strictes qui dictent comment les individus doivent se comporter et s'identifier en fonction de leur genre assigné à la naissance.

Nous entrons maintenant dans une phase pour le moins effrayante de l’humanité, celle de la déconstruction de l'identité de genre, où les gens sont encouragés à avoir le sexe de leur choix, au moment où ils le veulent. Les drag-queens sont maintenant le vecteur d’information de l’idéologie de genre et de l’identité sexuelle, qui proposent une vision déformée de la réalité aux enfants. Ils peuvent changer de sexe s’ils ne se sentent pas bien avec ce qu’ils ont, et ils peuvent aussi tout changer du reste pour quelque chose qui leur convient davantage. Tout ceci laisse libre cours à une multitude d’interprétations, des déviances s’installent dans la société et des personnes vulnérables en quête d’acceptabilité et de popularité optent pour des solutions radicales qu’ils pourront regretter.

Le développement de l'identité, bien qu’il continue toute la vie, a lieu principalement au cours des premières années de l'enfance et de l'adolescence, généralement avant l'âge de 12 ans.

Aujourd’hui, je discute avec Charles Gaudreault, père de trois enfants. Il a récemment découvert que l’école que sa fille de cinq ans fréquente présente en classe des vidéos de la drag-queen Barbada, et ce, sans le consentement des parents. Voici son témoignage. Après l’avoir appris, il a essayé d’informer d’autres parents de la situation, et la seule réponse qu’il a reçue était ni plus ni moins d’aller se faire voir.

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