La candidature à la direction de Chrystia Freeland : La prise de contrôle mondialiste du Canada

Freeland est membre du conseil d'administration du Forum économique mondial, un détail qu'elle tente maintenant de supprimer d'Internet.

La mondialiste la plus insupportable et nerveuse du Canada, Chrystia Freeland, se prépare à remplacer Justin Trudeau à la tête du Parti libéral. Et soyons honnêtes : elle n'est pas un visage nouveau, elle n'est pas une meilleure option, et elle n'est certainement pas du côté des Canadiens ordinaires. Si quoi que ce soit, elle est aussi radicale, aussi élitiste, et tout aussi dangereuse pour nos libertés.

Examinons de près la véritable Chrystia Freeland — parce que vous ne l’entendrez pas de la part des chiens de garde des médias traditionnels. Pour en savoir plus sur Freeland et les autres hauts placés libéraux qui se battent pour remplacer Trudeau et devenir un Premier ministre du Canada de courte durée, visitez RencontrezLesLibéraux.com.

Freeland est membre du conseil d'administration du Forum économique mondial, un détail qu'elle essaie maintenant de supprimer d'Internet. Alors qu'elle était censée défendre les intérêts canadiens en tant que ministre des Finances, elle siégeait également au conseil d'une organisation mondialiste non élue qui veut "réinventer" le capitalisme, imposer des politiques ESG, et contrôler ce que vous pouvez manger, conduire et posséder. Ils disent même : "Vous ne posséderez rien et vous serez heureux."

Eh bien, devinez quoi ? Ceux qui bénéficient de ce plan sont les milliardaires et les élites politiques, tandis que le reste d'entre nous se fait écraser et ne peut même pas se permettre une maison, même si nous en voulions une.

Et si cela ne suffisait pas, ses liens avec George Soros soulèvent encore plus de drapeaux rouges.

Avant d'entrer en politique, elle a écrit une biographie sur Soros—le même homme qui finance des mouvements radicaux de gauche dans le monde entier. Croyez-vous vraiment que Freeland agit dans le meilleur intérêt du Canada ? Ou est-elle simplement une autre marionnette des élites essayant d'imposer leur agenda mondialiste aux Canadiens travailleurs ?

N'oublions pas ce qui s'est passé pendant les manifestations du convoi de la liberté.

Freeland—la bras droit de Trudeau—a joyeusement, et, il s'avère, illégalement, invoqué la Loi sur les mesures d'urgence, gelant les comptes bancaires des manifestants pacifiques et même de ceux qui ont simplement fait des dons pour la cause anti-mandat. Imaginez cela. Une ministre du gouvernement, souriant avec suffisance alors qu’elle détruisait les moyens de subsistance financiers des Canadiens ordinaires simplement parce qu'ils osaient désapprouver l'ingérence de son gouvernement. Ce n’était pas une question de sécurité publique. C’était une question de supprimer la dissidence.

Si elle a été aussi impitoyable en tant que ministre des Finances, que pensez-vous qu'elle fera en tant que Première ministre ? Elle a été une catastrophe économique

En tant que ministre des Finances, Freeland a été une catastrophe sans précédent. Sous sa surveillance, l'inflation a pris son envol, les taux d'intérêt ont grimpé en flèche, et les Canadiens ont été contraints de choisir entre chauffer leur maison et nourrir leur famille. Au lieu de faire preuve de responsabilité, elle a prêché la "responsabilité fiscale" tout en accumulant des dettes record et en imposant encore plus de taxes sur les Canadiens de la classe ouvrière. Sa solution ? Annuler Disney Plus.

Et que s'est-il passé ? Eh bien, elle a démissionné en décembre 2024—après des tensions avec Trudeau sur qui prendrait la responsabilité publique des politiques radicales collectives des libéraux. Elle a un passé d'hypocrisie et de mensonges

Freeland aime prêcher la responsabilité environnementale. Elle nous gronde sur nos excès de conduite, notre empreinte carbone, sur la manière dont nous devons réduire nos habitudes. Pendant ce temps, elle ne suit même pas ses propres règles. Vous vous souvenez quand elle a prétendu ne pas posséder de voiture—avant d’être surprise en train de rouler en excès de vitesse en Alberta ? Et n'oublions pas qu'elle a été conduite dans des véhicules financés par les contribuables tout en demandant aux Canadiens de prendre le bus.

Puis il y a son autre hypocrisie—son passé d'ignorance concernant les liens nazis de sa famille. Son grand-père, Michael Chomiak, était rédacteur en chef d'un journal collaborateur nazi en Ukraine pendant la Seconde Guerre mondiale.

Au lieu de l'aborder frontalement—car ce que faisait son grand-père n’était pas de sa faute—elle l'a balayé comme "de la désinformation russe", même si l’histoire de sa famille est documentée dans les archives provinciales de l'Alberta. Je suppose que les Russes ont voyagé dans le temps pour la piéger.

Puis, en 2022, elle a été vue fièrement portant une écharpe aux couleurs nationalistes ukrainiennes associées aux collaborateurs nazis. Et elle a essayé d'effacer cette preuve aussi. Puis il y a eu l'ovation debout qu'elle a donnée à un nazi gériatrique à la Chambre des communes.

Voilà la femme qui veut diriger le Canada. Une initiée du Forum économique mondial. Une disciple de Soros. Une autoritaire qui rit en gelant les comptes bancaires de ses opposants politiques. Une ministre des Finances qui a ruiné l’économie et a ensuite pris la fuite. Une hypocrite climatique qui vous donne des leçons tout en profitant des privilèges financés par les contribuables. Et une menteuse ordinaire.

Les Canadiens ne peuvent pas se permettre Chrystia Freeland. Elle ne travaille pas pour nous—elle travaille pour les mondialistes. Si elle prend la direction des libéraux, elle prendra les pires politiques de Trudeau et les amplifiera.

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Alexandra Lavoie

Quebec based Journalist

Alexa graduated with a degree in biology from Laval University. Throughout her many travels, she has seen political instability as well as corruption. While she witnessed social disorder on a daily basis, she has always been a defender of society’s most vulnerable. She’s been around the world several times, and now joins Rebel News to shed light on today’s biggest stories.

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