Les impôts des Canadiens financent l’immigration massive et l’agenda mondialiste
Les Canadiens paient l'immigration de masse… deux fois. D'abord, à travers des programmes financés par les contribuables qui facilitent l’afflux de migrants, puis en couvrant les coûts de leur installation. Mais où va réellement cet argent ?
Aujourd’hui, nous braquons les projecteurs sur l’un des plus grands gouffres financiers financés par les contribuables canadiens : l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Cette agence, soutenue par l’ONU et financée en partie par l’argent des contribuables, soulève de sérieuses questions sur la transparence et la responsabilité.
D’après la base de données des subventions et contributions du gouvernement, le Canada a injecté des millions dans l’OIM. Pourtant, en comparant ces chiffres avec les données de l’OIM sur les dons volontaires canadiens, les montants ne correspondent pas. Où est passé l’argent manquant ? Et que finance-t-il réellement ?
Lorsque j’ai contacté Affaires mondiales Canada et Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) pour obtenir des réponses, je n’ai reçu aucune réponse concrète. Choquant ? Pas vraiment.
Certaines subventions semblent justifiées—comme l’aide aux pays frappés par des catastrophes naturelles—mais d’autres soulèvent de sérieuses préoccupations. Sommes-nous face à un gigantesque pipeline financier échappant à tout contrôle ?
L’OIM est profondément ancrée dans le système des Nations Unies, collabore avec le Forum économique mondial (WEF) et s’aligne sur les Objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU. En d’autres termes, c’est un projet mondialiste—et Trudeau suit aveuglément sa ligne directrice.
Le slogan de l’OIM, « ne laisser personne de côté », semble noble. Mais en réalité, cela signifie qu’ils considèrent que l’immigration légale « ne suffit pas ». Plutôt que de respecter les frontières, ils facilitent l’immigration illégale, sans l’admettre ouvertement.
Prenons l’exemple du Darién Gap, une jungle extrêmement dangereuse entre la Colombie et le Panama. Cette route est devenue un corridor clé pour les migrants qui tentent d’entrer illégalement aux États-Unis et au Canada. Des organisations comme l’OIM, la Croix-Rouge, HIAS et l’UNICEF y ont installé des camps pour « aider » les migrants—non pas pour les dissuader, mais pour faciliter leur traversée.
Certaines de ces organisations, comme HIAS et la Croix-Rouge, ont même été prises en train de distribuer des cartes indiquant les routes clandestines vers les États-Unis. Pendant ce temps, l’OIM distribue des « kits anti-viol » contenant des préservatifs, des sifflets, des lampes de poche et même des pilules abortives. Comme pour dire : « Si vous devez être agressé, faites-le au moins en toute sécurité. »
L’OIM, l’ONU et le WEF œuvrent pour un agenda de redistribution des richesses, financé en partie par les Canadiens qui travaillent dur. L’ONU a même suggéré que les populations vieillissantes des pays développés devraient être « remplacées » par l’immigration. Cela vous dit quelque chose ?
Les gouvernements poussent à la banalisation de l’avortement tout en dissuadant les naissances—puis s’associent à l’ONU pour encourager l’immigration massive. Faites le calcul.
Les Canadiens méritent de savoir où va leur argent. Des organisations comme l’OIM fonctionnent avec une transparence quasi inexistante, et il est temps de les dénoncer.

Alexandra Lavoie
Quebec based Journalist
Alexa graduated with a degree in biology from Laval University. Throughout her many travels, she has seen political instability as well as corruption. While she witnessed social disorder on a daily basis, she has always been a defender of society’s most vulnerable. She’s been around the world several times, and now joins Rebel News to shed light on today’s biggest stories.
