« Trudeau est le pire président de notre continent », déclare Agustín Laje, ami de Javier Milei

Agustín Laje, un commentateur influent et auteur dans le monde hispanophone, a évoqué son ami Javier Milei, le nouveau président de l'Argentine, les échecs de Justin Trudeau en tant que dirigeant et la montée de l'idéologie du genre.

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Lors d’un récent entretien, Agustín Laje, écrivain reconnu et commentateur influent dans le monde hispanophone, a partagé ses réflexions sur la situation politique en Amérique latine et l’impact des idéologies globales. En se présentant, Laje a déclaré : « Je m'appelle Agustín Laje. Je suis originaire d'Argentine, j'étudie les sciences politiques ainsi que la philosophie. Je suis écrivain et auteur de plusieurs ouvrages. » Parmi ses œuvres notables figurent Génération Idiot, La bataille culturelle et Le livre noir de la nouvelle gauche.

Laje a évoqué l'évolution du pouvoir politique en Amérique latine depuis 2019, en soulignant : « Depuis 2019, après la création du Groupe de Puebla, une contre-offensive des progressismes du 21e siècle a permis de conquérir presque toute l'Amérique latine avec des gouvernements socialistes. » Cependant, il a souligné un changement majeur qui a débuté fin 2023, principalement en Argentine. « Le tournant est venu d'Argentine, avec la victoire de Javier Milei », a expliqué Laje. Il a mis en avant comment le programme économique, politique et social de Milei est attentivement observé dans toute l'Amérique latine. « Javier Milei est désormais suivi par tous les pays d'Amérique latine, car il est reconnu que s’il réussit, les autres pays tenteront de suivre l’exemple argentin. »

 En parlant de Milei, Laje a ajouté : « Je connais Javier Milei depuis de nombreuses années… c’est une personne avec des idées fermes, qui apprécie le monde intellectuel. » Il a décrit Milei comme « un intellectuel en sciences économiques » qui, en raison de la situation en Argentine, « a dû endosser le rôle de politicien », même si « ce n’est pas un politicien de carrière ». Laje a souligné que certains médias dépeignent à tort Milei comme « un fou, un lunatique, un drogué », en affirmant : « Il ne boit même pas une goutte de bière… c’est une personne tout à fait normale, extrêmement loyale envers ses amis. »

Laje a également abordé l'influence culturelle croissante du « wokisme » dans l'éducation et les médias, en affirmant : « C'est une idéologie académique. Ce n'est pas une idéologie issue du peuple. Personne ne l’adopte naturellement dans la vie sociale, elle est imposée par les institutions éducatives. » Il a exprimé son inquiétude concernant son retour éventuel si le Parti démocrate remportait les prochaines élections aux États-Unis, en avertissant : « Si le Parti démocrate gagne de nouveau… ils utiliseront tout leur pouvoir politique pour que le wokisme lance une contre-offensive, une seconde vague. »

En conclusion, Laje a souligné l’interdépendance entre les événements politiques aux États-Unis et en Amérique latine, en déclarant : « Ce qui se passe aux États-Unis a des répercussions sur l’Amérique latine », insistant sur l’importance de rester vigilant face à ces changements idéologiques.

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