Durant la conférence du Canada Strong and Free Network qui s’est tenue à Ottawa, Élie Cantin-Nantel, journaliste pour le média indépendant True North, nous a exposé ses observations concernant le mouvement "woke" dans le système éducatif. Il a découvert que le voile de l'inclusion était souvent une façade pour l'exclusion ou la discrimination positive.

Des événements et des espaces réservés uniquement à certaines races ou genres ont été découverts, soulignant ainsi une forme de ségrégation raciale rationnalisée. Élie Cantin-Nantel explique: "La réponse à l'ancienne discrimination, c'est de la future discrimination."

Cette enquête soulève des questions cruciales sur l'idéologie croissante du "woke" dans les institutions académiques. Des sommes considérables sont dépensées pour promouvoir cette idéologie, mais est-ce vraiment nécessaire? Cantin-Nantel interroge la pertinence de la discrimination positive déguisée, soulignant les recherches du politologue David Haskell, qui démontrent que cette approche ne fait qu'aggraver les tensions.

Élie mentionne, "En fait, ça empire la situation et ça ne me surprend pas. Quand on divise les gens, on leur dit, Vous êtes oppresseur, vous êtes opprimés, ce n'est pas ce qu'il faut faire."

GOLDSTEIN: A critical examination of Diversity, Equity and Inclusion (DEI) training programs suggests they often make racism in the workplace worse, according to a report by David Haskell.@DMillardHaskell@sunlorrie @AristotleFdn https://t.co/qrULgqH37P

— Maxime Bernier (@MaximeBernier) February 15, 2024

Pour ce qui est de la définition de ce qu'est être un conservateur, selon Cantin-Nantel, cela va bien au-delà de la simple question budgétaire. C'est une question de préserver les valeurs sociales et culturelles fondamentales, de protéger la famille et les institutions. Face à une gauche radicale qui prône la destruction de ces valeurs, Cantin-Nantel appelle à l'unité et à un retour au bon sens.

Pourtant, au Québec, le paysage politique est teinté de nuances. Les Québécois sont souvent conservateurs sur certains enjeux, mais réticents à l'idée d'être dirigés par le gouvernement fédéral. Cantin-Nantel exhorte à des conversations franches et à une réévaluation des politiques énergétiques, soulignant l'importance de soutenir l'énergie canadienne comme acte d'environnementalisme véritable.