Un adolescent fait face à des accusations criminelles pour avoir retiré le drapeau LGBTQ+ de son école

Un adolescent de 16 ans est actuellement confronté à des accusations criminelles pour avoir retiré un drapeau LGBTQ+ de son école à Pincourt, Montréal. L'incident, survenu le 16 mai, met en lumière des questions sur le traitement des dissidents qui ne se conforment pas au mouvement LGBTQ+. 

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La journaliste Alexandra Lavoie de Rebel News enquête sur l'histoire de ce jeune adolescent, désormais confronté aux conséquences juridiques de ses actes. Une vidéo virale circulant sur les réseaux sociaux a capturé un groupe d'élèves du secondaire retirant et piétinant le drapeau LGBTQ+, entraînant une série d'événements auxquels les familles et les autorités doivent faire face. 

Au cœur de cette controverse en cours, la mère préoccupée de l'un des adolescents impliqués a contacté Rebel News pour obtenir de l'aide face aux graves conséquences de l'incident. Peu de temps après l'incident, l'adolescent a été soumis à des sanctions scolaires, et par la suite, plusieurs familles, dont la sienne, ont reçu un appel de la Sûreté du Québec.

La mère exprime sa conviction que l'école porte la responsabilité de la situation. Son fils a souligné que la majorité des élèves proviennent de milieux religieux différents. La mère a mentionné que cela pourrait entraîner des conflits inévitables lors de l'imposition du drapeau LGBTQ+ à leur égard. Malgré cela, l'école a maintenu son affichage.

Alors qu'Alexandra poursuit son enquête, elle explore l'enquête policière en cours liée à l'incitation à la haine en rapport avec l'événement. Le courriel de réponse de la Sûreté du Québec précise la participation de six jeunes mineurs, âgés de 13 à 16 ans, accusés en vertu de "fomenter la haine" (article 319), mais révèle qu'aucune plainte officielle n'a été déposée.

L'identité de l'adolescent reste confidentielle. Avant l'incident, il affirme avoir été provoqué par certains individus de la communauté LGBTQ+ qui ont tenté d'arracher la croix qu'il portait autour de son cou. En réponse à cela, des courriels ont été envoyés au directeur de l'école, au conseil scolaire et à l'établissement concerné. Malheureusement, personne ne m'a répondu.

Restez à l'écoute pour plus d'informations sur cette histoire en évolution.

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  • By Tamara Ugolini

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