Une enseignante conteste la directive de l'école concernant la divulgation de l'identité de genre

Un enseignant de troisième année, dont l'identité est protégée par la confidentialité, a mis en lumière les problèmes liés au guide ministériel intitulé 'Pour une meilleure prise en compte de la diversité sexuelle et de genre.'

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Lors d'une récente interview, Olivier Séguin, avocat pour le Centre Juridique pour les Libertés Constitutionnelles (CJLC), a fourni des éclaircissements sur un cas litigieux impliquant une enseignante de troisième année dans une école de Montréal. Cet enseignant a souligné les problèmes liés au guide ministériel intitulé "Pour une meilleure prise en compte de la diversité sexuelle et de genre."

Séguin a partagé des détails sur le dilemme de l'enseignante, déclarant, "Ma cliente s'est vu donner les instructions par la direction de l'école de désigner l'une de ses élèves au masculin en raison d'une transition de genre." L'enseignante a initialement obéi mais elle s'est objectée lorsqu'on lui a demandé de dissimuler cette information aux parents de l'élève, exprimant qu'"elle ne pouvait pas imaginer faire face aux parents et prétendre que rien n'allait."

Séguin a souligné l'objection morale de l'enseignante, affirmant, "Son objection de conscience est évidemment de tenir les parents dans le secret et de refuser de se conformer à l'instruction qu'elle a reçue de mentir aux parents." Il a souligné le fondement juridique de leur demande de révision judiciaire, citant "une atteinte à la liberté de conscience, une atteinte à la liberté d'expression du professeur et une atteinte aux prérogatives traditionnelles, qui sont celles des parents."

Concernant la directive des autorités éducatives, Séguin l'a critiquée comme étant motivée par une idéologie, remarquant : "C'est un document qui porte les marques d'une certaine idéologie. À mon avis, c'est très clair." Il s'est inquiété du manque de clarté dans la loi, déclarant, "Des amendements ont été apportés au Code civil du Québec en 2016... Tout cela faisait partie du projet de loi 103... Il y a eu très peu de réflexion, très peu de débat."

Séguin a soulevé des questions sur l'interprétation des lois par les autorités, notamment en ce qui concerne les droits des parents et les procédures scolaires.

Il a souligné, "La responsabilité première envers leurs enfants n'incombe pas à l'école, ni au ministre de l'Éducation, mais aux parents."

Séguin s'est interrogé sur des implications plus larges, déclarant, "Je me pose des questions concernant des problèmes plus larges que simplement le guide... Il est possible que nous allions plus loin."

Si vous souhaitez faire entendre votre voix pour mettre fin à l'endoctrinement des enfants, notamment dans le système scolaire, veuillez signer notre pétition sur StopClassroomGrooming.com!

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