Les amendes arbitraires doivent cesser! Aidez-nous à lutter pour la liberté de la presse!

Le vidéaste de Rebel News, Guillaume Roy, se bat contre une accusation émise lors du confinement draconien lié à la COVID-19 au Québec. Son crime? Avoir dit à un agent en civil qu'il était un 'grand fendant.' Aidez-nous à lutter contre les abus arbitraires de pouvoir!

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Guillaume Roy est vidéaste et producteur pour Rebel News depuis 2021. Avant de rejoindre l'équipe de Rebel, il était journaliste citoyen couvrant les stricts confinements dans la province de Québec, alors que les médias traditionnels échouaient à le faire.

En effectuant son travail de journaliste indépendant, Guillaume a reçu plusieurs contraventions pour diverses infractions aux mesures sanitaires.

La contravention la plus arbitraire qu'il a reçue est survenue lors d'un sit-in à Québec. Il a reçu une amende pour avoir "insulté un agent de la paix" après avoir dit "grand fendant" à un policier en civil.

"Grand fendant" est un terme utilisé au Québec pour désigner une personne pédante, prétentieuse et agaçante.

Guillaume a décidé de contester cette amende, qu'il considérait comme une atteinte à ses droits constitutionnels.

"À la suite de l'annonce du projet de loi 96, il y avait un élément dans ce projet de loi qui violait la Constitution. Cela a créé une sorte de panique parmi plusieurs groupes activistes, amenant toutes ces personnes à se mobiliser. Et j'ai commencé à m'intéresser à cette mobilisation," a expliqué Guillaume, réfléchissant à la manière dont il est devenu impliqué dans le sit-in à Québec.

Le sit-in a attiré l'attention et le soutien de diverses parties. Cependant, les tensions ont monté alors que les forces de l'ordre cherchaient à démanteler les installations mises en place par les manifestants. Après la démolition de celles-ci, des agents en civil ont commencé à surveiller les manifestants.

Guillaume a raconté une rencontre avec l'un de ces individus qui l'a reconnu des réseaux sociaux, indiquant un niveau de surveillance qui l'a troublé.

Alors que le sit-in se poursuivait, les autorités ont de nouveau tenté de démanteler la petite installation de tente. "Il y avait beaucoup de volonté d'arrêter ce mouvement," a observé Guillaume. Malgré les efforts pour disperser les manifestants, il est resté ferme dans son engagement envers la liberté d'expression.

Lors de leur intervention, la police en civil a infligé une amende de 150 $ à Guillaume, apparemment pour l'infraction mineure mais hautement arbitraire d'avoir dit "grand fendant" à l'un des policiers présents.

Il a considéré la sanction comme arbitraire et symbolique de problèmes plus larges concernant les libertés civiles. "Les décisions arbitraires ne viennent pas seulement de la police, mais aussi de la ville," a affirmé Guillaume.

Déterminé à contester l'amende, il a souligné l'importance de défendre la liberté d'expression, en particulier pour les médias indépendants comme Rebel News.

Alors que Roy se prépare à contester l'amende en justice avec Rebel News et Le Fond pour la Démocratie, son cas sert de cri de ralliement pour ceux qui croient au droit fondamental de dissidence. "Cela peut sembler banal," a-t-il remarqué, "mais c'est précisément le problème."

Avec le soutien de personnes partageant les mêmes idées, Roy espère établir un précédent qui garantira la liberté d'expression pour les générations futures.

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