Le problème existe depuis 2017 et s’aggrave de jour en jour sans qu’aucune solution concrète ne soit mise en œuvre pour condamner ce point d’entrée illégal.

Le 6 février dernier, le maire de New York, Eric Adams, a annoncé qu’il subventionne le passage de migrants illégaux au Canada en leur achetant des billets d’autobus avec l’argent des contribuables.

Adams, le maire d’une soi-disant ville sanctuaire, utilise ainsi des fonds publics pour permettre à des gens de franchir la frontière canado-américaine par le passage illégal qu’est le chemin Roxham, dont l’entrée canadienne se situe ici, au Québec, la province où adviennent la majorité des passages illégaux des États-Unis vers le Canada. 

Il y a quelques mois, Adams avait qualifié de « cruel » le gouverneur de l’État du Texas, Greg Abbott, qui avait fourni des billets d’autobus vers New York à des migrants qui avaient traversé illégalement la frontière américano-mexicaine du Texas. Contrairement au Texas, New York est une ville sanctuaire. Ses lois municipales protègent les migrants clandestins contre l’expulsion ou les poursuites, sans égard pour la législation fédérale en matière d’immigration. 

Eric Adams fait ce qu’il accuse Greg Abbott de faire. Il participe au trafic de migrants à notre frontière par leur passage irrégulier au chemin Roxham. Adams prend ainsi part à la traite des personnes au Canada, et il utilise des fonds publics pour le faire.

Pour aussi peu que 66 dollars américains par billet d’autobus, Eric Adams fait subir aux Canadiens les conséquences de ses politiques, tirant au passage le meilleur parti de l’affaire. Nous savons que 82 % des migrants illégaux qui empruntent le chemin Roxham se retrouvent dans des logements financés par les contribuables. 

Les pressions que cela crée sur le système sont sans précédent, les coûts associés au chemin Roxham atteignant les centaines de millions de dollars. Depuis 2021, le chemin Roxham a coûté 201 millions de dollars aux contribuables canadiens. 

Les coûts liés aux passages illégaux à cet endroit, qui représentent jusqu’à 90 % des passages illégaux de la frontière au Canada, ne tiennent pas compte des salaires des agents de la GRC qui travaillent sur place ni de ceux des 38 employés du ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles mobilisés par le dossier. 

Pour ajouter à ces chiffres, le gouvernement fédéral a dépensé près de 94 millions de dollars depuis la dernière élection pour réserver des hôtels entiers pendant des mois afin d’accueillir des demandeurs d’asile. 

Les Québécois n’ont pas voté pour Eric Adams, pas plus que le reste du Canada. Nous n’avons pas choisi cette option, et nous n’avons pas eu notre mot à dire. Voilà pourquoi nous vous donnons aujourd’hui la chance de vous faire entendre. Allez au StopTraffickingToCanada.com.

Signez la pétition et envoyez un message clair au maire Adams.